Mario Posté(e) le 16 septembre 2004 Signaler Posté(e) le 16 septembre 2004 DEVOIR D'ANGLAIS : ============== Traduire le texte suivant extrait de la presse. Crime wave? Not our problem The streets of Bagdad are full of thieves, rapists and murderers who deserve to be locked up. But inside a dark, stuffy police station in the Bayaa neighbourhood of southwest Bagdad, Lieutenant Majour Hafudh Jasim and his 60 cops have been spending most of their time sitting at their desk, sipping tea and complaining "A criminal won't stop unless someone stops him" Jasim says with a shrug. Why he and his men haven't done more of that - they are reluctant to respond to calls and make only about five arrests a day in a crime ridden area that covers nearly 400 sp km - is a matter of hot debate.The American military police who oversee the station house call the Iraqi cops lazy. The Iraqi cops admit they're demoralized but blame the Americans for ordering them around, hogging investigations and letting criminals go. Everyone agrees here aren't enough jails to hold all the thieves. But things got so bad last week that one of the men locked up in Jasmin's cell block was Jasmin himself. His arrest was the result of a power struggle between Jasmin - short and stocky, with an impeccable haircut and mustache- and sergeant Troy Taylor, a lanky American Military Police commander with blue eyes and crew cut. Their struggle reflects all the indignities of the Iraqi police learning to obey American bosses. Jasmin acknowledged that under Saddam, Bagdad cops were feared and hated. But at least they were respected. The American took the Iraqi 9 mm pistols and replaced them with 7 mm guns. Twice Jasim says, station house disputes led to American soldiers pointing their guns at his officers. The americans were supposed to help the Iraqi people but instead they are ordering us around. Time Magazine June 30 2003 ----------------------------------------------------------------------------------------------- La vague de criminalité? Pas notre problème Les rues de Bagdad sont remplies de voleurs, de violeurs et de meurtriers qui méritent d'être mis sous les verrous. Mais, dans un commissariat sombre et mal aéré, aux alentours de Bayaa au Sud-Ouest de Bagdad, le lieutenant Majour Hafudh Jasim et ses soixante agents de police ont passé la plupart de leur temps, assis devant leurs bureaux, sirotant du thé et en se lamentant de la sorte: "Un criminel ne sera pas arrêté à moins que quelqu'un ne l'arrête", comme le dit Jasim avec un haussement d'épaules. La raison pour laquelle lui et ses hommes n'en ont pas fait plus que cela - ils sont peu empressés à répondre aux appels téléphoniques et n'effectuent qu' environ cinq arrestations par jour dans une zone criblée par le crime, couvrant presque 400 kilomètres-carré - c'est le sujet d'un bouillant débat. La police militaire américaine qui surveille le poste, traite les policiers irakiens de fainéants. Ces derniers admettent qu'ils sont démoralisés, mais ils reprochent aux américains de les commander, de monopoliser les enquêtes et de laisser partir les criminels. Tout le monde est d'avis qu'il n'y a pas assez de cellules pour emprisonner tous les bandits. Mais les choses ont si mal tourné la semaine dernière qu'un des hommes incarcérés dans le quartier cellulaire de Jasmin était Jasim en personne. Son arrestation fut le résultat d'une puissante bagarre entre Jasim - petit et trapu, portant une coupe de cheveux impeccable et des moustaches - et le sergent Troy Taylor, un responsable de la police militaire américaine, grand et maigre, aux yeux bleus, les cheveux en brosse. Leur dispute reflète l'indignation générale de la police irakienne à apprendre à obéir aux chefs américains. Jasmin a reconnu que, sous Saddam, les policiers de Bagdad étaient redoutés et haïs. Mais au moins, ils étaient respectés. Les Américains ont pris aux Irakiens leurs pistolets 9 mm et les ont remplacés par des fusils 7 mm. Jasim dit qu'à deux reprises, les disputes au poste de police ont abouti à ce que des soldats américains pointent leurs fusils sur ses agents. Les Américains étaient supposés aider le peuple Irakien, mais au lieu de cela, ils nous donnent des ordres à droite et à gauche. "Time Magazine" du 30 juin 2003 ----------------------------------------------------------------------------------------------- Bonjour à tous j'aurai besoin de votre aide pour cette difficile version à partir d'un article de journal américain. Pourriez-vous svp me corriger mon travail. Beaucoup d'expressions et tournures de phrases américains me semblent très difficiles à rendre en français. Au passage, je vous précise que j'ai du mal à comprendre pourquoi on parle à la fois de Jasim et de Jasmin. sont-ce deux mêmes prénoms pour le lieutenant commissaire de police. Merci beaucoup pour vos corrections. Je vous souhaite une bonne journée. M.F. ----------------------------------------------------------------------------------------------
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