scarlette Posté(e) le 5 mai 2004 Signaler Posté(e) le 5 mai 2004 Salut j ai un commentaire composé pour vendredi sur ce texte : Le sujet est : Dans un commentaire littéraire vous montrerez comment le poète crée,à travers l'évocation d'un paysage,un univers énigmatique et envoutant. Les rues molles comme des gants Les gares aux gestes de miroir les canaux dont les berges tentent vainement de saluer les nuages et le sable le sable qui est gelé comme une pompe et projette au loin ses tentacules de cristal tous ses tentacules n'arriveront jamais à transformer le ciel en mains Car le ciel s'ouvre comme une huitre et les mains ne savent que se fermer sur les poutres des mers qui salissent les regards bleus des sqales voyageurs parfumés voyageurs sans secousses qui contournent éternellement les sifflements avertisseurs des saules merci quand meme...
Invité souchi28 Posté(e) le 12 mai 2004 Signaler Posté(e) le 12 mai 2004 salu c souad g moi ossi le commentaire a faire sur cette poésie tu pourai maider parce qe je sui tré nul en francai et si ta besoin daide ya pas de pb en math physique svt sa marangerai plus bon bisou et jaten une reponsee stp merci davance bisou
L0lo Posté(e) le 8 décembre 2004 Signaler Posté(e) le 8 décembre 2004 de meme pour moi j'ai aussi un commentaire a faire dessus la fin est pas trés claire pour moi qui peut m'aider? c'ets assez urgent merci d'avance
E-Bahut clems Posté(e) le 8 décembre 2004 E-Bahut Signaler Posté(e) le 8 décembre 2004 merci de votre participation... quel apport! sans ça, commencez par donner vos idées, vos réflexions préliminaires, etc... merci d'avance!
E-Bahut sansid3 Posté(e) le 9 décembre 2004 E-Bahut Signaler Posté(e) le 9 décembre 2004 il faudrait peut-etre commencer par faire une recherche sur l'auteur! Citation Il collabore à tous les numéros de La Révolution surréaliste, signe la plupart des déclarations du groupe, mais n’en poursuit pas moins la recherche d’une poésie originale. L’écriture automatique est à l’œuvre, mais son principe moteur, plus que l’association d’idées et la métaphore, chères à Breton et à Eluard, est le saugrenu syntaxique de la phrase, indéfiniment prolongée dans ses parallélismes, ses bifurcations et ses saccades.
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