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Dissertation urgente (pour demain)


PierreBoutonnet1

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Bonjour à tous•tes, j'aurais besoin de votre aide, je dois répondre à cette problématique pour demain, or je n'ai absolument pas d'idées et cet après-midi je dois aller voir mon arrière grand-mère qui n'est pas dans le meilleur de ses états. Merci d'avance pour l'aide, voici le sujet :

La morale peut-elle être absente de la politique ?

Vous répondrez à cette question en recourant à des références, arguments et exemples précis et pertinents.

Modifié par PierreBoutonnet1
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  • E-Bahut

Salut, en cette période d'élections je pense qu'on a tous la réponse, pas besoin de faire une dissertation. Ecris juste "oui" sur ta copie, ça devrait largement suffire.

Sinon, il fallait t'y prendre la semaine dernière pour avoir le temps de réfléchir et d'écrire un peu. Bon courage!

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il y a 25 minutes, Calliclès a dit :

Salut, en cette période d'élections je pense qu'on a tous la réponse, pas besoin de faire une dissertation. Ecris juste "oui" sur ta copie, ça devrait largement suffire.

Sinon, il fallait t'y prendre la semaine dernière pour avoir le temps de réfléchir et d'écrire un peu. Bon courage!

J'aurai bien aimé mettre ça en effet, et la chose étant que mon prof a eu la MERVEILLEUSE idée de nous donner ce travail à faire vendredi matin...

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  • E-Bahut

"La politique s'oppose à la morale, comme la philosophie à la naïveté." Emmanuel Lévinas, Totalité et infini

[une citation dans l'accroche, c'est un peu classe, ou parfaitement pédant et démodé, ça dépend des goûts, mois je suis ringard et j'aime les citations pompeuses, je l'assume.]

L'opinion courante est que les politiques n'ont pas de morale. Et cela paraît être une évidence, devant les scandales financiers qui s'accumulent sur le bureau des juges et procureurs du parquet national financier: travail dissimulé, emplois fictifs, financements occultes de campagne, détournements de fonds publics, trafic d'influence. Une partie non-négligeable des personnalités politiques françaises se distinguent par leur casier judiciaire plutôt que par leurs actions publiques. Devant leurs procédures pour retarder les condamnations, ou leur manière de nier les faits même devant les preuves, ou encore leur hypocrisie flagrante lorsqu'ils prétendent dénoncer les problèmes auxquels ils contribuent, les politiques semblent évidemment dépourvus de morale. Mais cela ne veut pas dire que la morale est absente de la sphère politique: si elle l'était, on ne parlerait même pas d'hypocrisie, puisque c'est un jugement moral. Il y a donc une subversion, ou une corruption morale flagrante dans le monde politique, mais pas une absence de morale: nous continuons de juger moralement leurs actions (et la justice continue de les condamner quand elle le peut: on souhaite à M. Balkany un bon retour en prison).

[bon, là on a fait une grosse accroche pleine de détails inutiles, mais puisque la philosophie s'oppose à l'opinion commune, comme la tronçonneuse aux branches moisies, il fallait insister sur la lourdeur des opinions courantes en politique, sinon à la question "La morale peut-elle être absente de la politique?" on est très tenté de répondre "vous avez entendu parler de François Fillon? C'est quoi votre question de merde? Bien sûr qu'il y a de la politique sans morale!" Donc on va devoir montrer que la question n'est peut-être pas si conne que ça, et que si les hommes politiques sont effectivement de belles raclures, on continue de s'en étonner, comme quoi... notre exigence morale face à la politique est toujours là, malgré les salopards qu'on doit se farcir au gouvernement]

Il y a donc un paradoxe à questionner l'absence de morale des personnalités politiques: on porte sur eux un jugement moral, considérant implicitement que la politique, si elle malmène la morale, ne devrait pas s'en affranchir. Elle devrait en être le lieu, au moins dans le pouvoir législatif, puisque c'est l'activité qui fait la jonction entre le domaine moral et le domaine légal, qui transforme nos intuitions morales en code de loi. On ne s'attend pas forcément à ce que les députés ou les maires de région débattent de la morale (qui imagine Christine Boutin dans un comité de bioéthique? Ou François Fillon disserter sur la vertu de l'honnêteté? Nicolas Sarkozy parler de probité?), mais on s'attend au moins à ce que les idées morales et leurs débats soient connus et utilisés par eux pour former des projets de loi et mettre en avant de nouvelles questions politiques.

[ok, on a précisé le rôle de la politique et pourquoi elle est forcément en rapport avec la morale, obligatoirement et quoi qu'on en dise, même dans un monde où Patrick Balkany existe. Mais maintenant, on va entrer dans le vif avec la situation qui fait merder la morale dans la politique: la guerre]

Et pourtant la politique confronte à des domaines dans lesquelles la morale devient un poids mort, car on est confronté à des dilemmes. Lorsqu'on reçoit une demande de rançon d'un groupe terroriste, la réponse politique est souvent de ne rien faire: l'inaction est immorale, mais l'est-elle plus que qu'enrichir un groupe armé d'extrémistes en leur offrant une rançon? Et si la méthode de la rançon marche, pourquoi les terroristes arrêteraient-ils de capturer des otages? Lorsqu'on est pris dans une guerre: les actions sont hors-morale: sacrifier des espions en leur fournissant de fausses informations pour qu'ils désinforment l'ennemi sans le savoir, ou bombarder des hôpitaux pour empêcher les soldats adverses de se soigner, tout cela n'a plus rien de moral, on entre dans le domaine militaires où les calculs tactiques et stratégiques dominent, justifiant tous les sacrifices et toutes les ruses pour éviter la destruction de son pays.

[Et puisqu'on réfléchit au sujet, et bien on va le présenter, tout simplement:]

La politique est donc le lieu où s'affrontent la plus haute exigence de moralité, et les circonstances qui peuvent nécessiter qu'on laisse la morale de côté. La morale peut-elle être absente de la politique?

[et maintenant on fait le bilan, calmement, de nos réflexions précédentes, on va problématiser la question]

Sous cette forme, la question paraît évidente: oui, puisque la guerre justifie que les politiques mentent, trichent ou désinforment pour éviter le conflit, ou simplement le dominer. La citation d'Emmanuel Lévinas part d'ailleurs de cette situation: il conclue que la politique s'oppose à la morale parce que la politique serait le moyen d'action pour empêcher une guerre, par tous les moyens. Mais ces actions elles-mêmes ne sont pourtant pas amorales: elles ont un objectif moral à long ou moyen terme qui justifie des actions immorales à court terme, par exemple sauver une population civile en écourtant un conflit, éviter une invasion ou la retarder (nous pensons évidemment à la situation au Dombas). Mais puisque ces circonstances violentes sont monnaie courante dans le monde, comment imaginer une politique dans laquelle les lois morales s'imposeraient toujours, sans concession?

[et là bim, je t'envoie une problématique, comme ça, paf, en sautant une ligne parce que c'est quand même vachement plus lisible, non?]

Comment la politique peut-elle être motivée par la morale tout en étant confrontée aux conditions qui abolissent la morale?

[et on passe aux définition: parce qu'au bout d'un moment, en philo, il faut savoir de quoi on parle]

Nous entendons pas politique la partie des activités humaines qui s'occupent d'organiser la société de façon pratique, par la décision d'objectifs (pouvoir exécutif) et la production de lois (pouvoir législatif). Nous n'incluons pas, en revanche, le pouvoir de renforcer cette loi sur le terrain (c'est le domaine de la police), ou d'appliquer et d'interpréter les lois pour chaque crime (c'est le domaine de la justice).

Nous entendons par morale l'activité intellectuelle qui cherche à comprendre et expliciter le plus clairement possible les règles d'action considérées comme justes ou bonnes (tout en gardant la capacité de critiquer et définir exactement les concepts de "bien" et de "justice"). La morale n'est pas unique, elle se décline en au moins trois grandes traditions que sont la déontologie (exprimer la morale sous la forme d'un code de conduite et identifier le bien moral au respect du code: c'est la tradition morale judéo-islamique), l'éthique conséquentialiste (juger du bien et du mal selon les résultats d'une action, ce qui amène à exprimer la morale par la forme souple de directions, de visée morale, sans définir un code qui devrait explicitement couvrir chaque situation, mais en laissant plus ouvert le concept de "bien" qui sera visé par une éthique conséquentialiste), et enfin l'éthique de la vertu, issue des traditions grecques puis chrétiennes, identifier des qualités et des modèles définis comme exemples de vertu, puis s'efforcer d'y ressembler (l'éthique de la vertu perd en précision sur les concepts, les règles ou les objectifs, mais elle gagne en exercice pratique et en illustrations, elle développe une pédagogie de la morale: difficile pour un vertueux de définir exactement la nature de sa vertu, mais il lui sera aussi difficile de changer ses habitudes morales).

L'absence de morale sera considérée ici comme une contradiction totale, un néant moral. On ne peut donc pas considérer l'immoralité des politiques comme une "absence de morale en politique": lorsque le couple Fillion pratique l'emploi fictif à l'Assemblée Nationale, ils sont dans l'immoralité et ils le savent très bien puisqu'ils essaient de dissimuler les preuves et de minimiser l'affaire. Ils ne sont pas dans l'amoralité, qui consisterait à nier entièrement les exigences morales de leur situation, sinon ils diraient simplement aux critiques "et alors?". Il est important de préciser la nature de "l'absence morale" dès maintenant pour ne pas tomber dans des arguments sémantiques stériles par la suite.

[et là, tu fais ton annonce de plan, boum!]

 

 

Bon, c'est bien beau tout ça, mais tu écris quoi, ensuite? Est-ce que tu as des idées d'arguments philosophiques pour ou contre l'absence de morale en politique? Est-ce que tu sais comment tu vas articuler ton plan? Je te laisse réfléchir. Mais bon, je t'ai écris une intro de la taille d'une petite dissertation, il y a suffisamment d'exemples pour une copie double.

Je te lance une perche quand même: il y a des arguments à chercher du côté de Machiavel, dans Le Prince.

Modifié par Calliclès
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Il y a 10 heures, Calliclès a dit :

"La politique s'oppose à la morale, comme la philosophie à la naïveté." Emmanuel Lévinas, Totalité et infini

[une citation dans l'accroche, c'est un peu classe, ou parfaitement pédant et démodé, ça dépend des goûts, mois je suis ringard et j'aime les citations pompeuses, je l'assume.]

L'opinion courante est que les politiques n'ont pas de morale. Et cela paraît être une évidence, devant les scandales financiers qui s'accumulent sur le bureau des juges et procureurs du parquet national financier: travail dissimulé, emplois fictifs, financements occultes de campagne, détournements de fonds publics, trafic d'influence. Une partie non-négligeable des personnalités politiques françaises se distinguent par leur casier judiciaire plutôt que par leurs actions publiques. Devant leurs procédures pour retarder les condamnations, ou leur manière de nier les faits même devant les preuves, ou encore leur hypocrisie flagrante lorsqu'ils prétendent dénoncer les problèmes auxquels ils contribuent, les politiques semblent évidemment dépourvus de morale. Mais cela ne veut pas dire que la morale est absente de la sphère politique: si elle l'était, on ne parlerait même pas d'hypocrisie, puisque c'est un jugement moral. Il y a donc une subversion, ou une corruption morale flagrante dans le monde politique, mais pas une absence de morale: nous continuons de juger moralement leurs actions (et la justice continue de les condamner quand elle le peut: on souhaite à M. Balkany un bon retour en prison).

[bon, là on a fait une grosse accroche pleine de détails inutiles, mais puisque la philosophie s'oppose à l'opinion commune, comme la tronçonneuse aux branches moisies, il fallait insister sur la lourdeur des opinions courantes en politique, sinon à la question "La morale peut-elle être absente de la politique?" on est très tenté de répondre "vous avez entendu parler de François Fillon? C'est quoi votre question de merde? Bien sûr qu'il y a de la politique sans morale!" Donc on va devoir montrer que la question n'est peut-être pas si conne que ça, et que si les hommes politiques sont effectivement de belles raclures, on continue de s'en étonner, comme quoi... notre exigence morale face à la politique est toujours là, malgré les salopards qu'on doit se farcir au gouvernement]

Il y a donc un paradoxe à questionner l'absence de morale des personnalités politiques: on porte sur eux un jugement moral, considérant implicitement que la politique, si elle malmène la morale, ne devrait pas s'en affranchir. Elle devrait en être le lieu, au moins dans le pouvoir législatif, puisque c'est l'activité qui fait la jonction entre le domaine moral et le domaine légal, qui transforme nos intuitions morales en code de loi. On ne s'attend pas forcément à ce que les députés ou les maires de région débattent de la morale (qui imagine Christine Boutin dans un comité de bioéthique? Ou François Fillon disserter sur la vertu de l'honnêteté? Nicolas Sarkozy parler de probité?), mais on s'attend au moins à ce que les idées morales et leurs débats soient connus et utilisés par eux pour former des projets de loi et mettre en avant de nouvelles questions politiques.

[ok, on a précisé le rôle de la politique et pourquoi elle est forcément en rapport avec la morale, obligatoirement et quoi qu'on en dise, même dans un monde où Patrick Balkany existe. Mais maintenant, on va entrer dans le vif avec la situation qui fait merder la morale dans la politique: la guerre]

Et pourtant la politique confronte à des domaines dans lesquelles la morale devient un poids mort, car on est confronté à des dilemmes. Lorsqu'on reçoit une demande de rançon d'un groupe terroriste, la réponse politique est souvent de ne rien faire: l'inaction est immorale, mais l'est-elle plus que qu'enrichir un groupe armé d'extrémistes en leur offrant une rançon? Et si la méthode de la rançon marche, pourquoi les terroristes arrêteraient-ils de capturer des otages? Lorsqu'on est pris dans une guerre: les actions sont hors-morale: sacrifier des espions en leur fournissant de fausses informations pour qu'ils désinforment l'ennemi sans le savoir, ou bombarder des hôpitaux pour empêcher les soldats adverses de se soigner, tout cela n'a plus rien de moral, on entre dans le domaine militaires où les calculs tactiques et stratégiques dominent, justifiant tous les sacrifices et toutes les ruses pour éviter la destruction de son pays.

[Et puisqu'on réfléchit au sujet, et bien on va le présenter, tout simplement:]

La politique est donc le lieu où s'affrontent la plus haute exigence de moralité, et les circonstances qui peuvent nécessiter qu'on laisse la morale de côté. La morale peut-elle être absente de la politique?

[et maintenant on fait le bilan, calmement, de nos réflexions précédentes, on va problématiser la question]

Sous cette forme, la question paraît évidente: oui, puisque la guerre justifie que les politiques mentent, trichent ou désinforment pour éviter le conflit, ou simplement le dominer. La citation d'Emmanuel Lévinas part d'ailleurs de cette situation: il conclue que la politique s'oppose à la morale parce que la politique serait le moyen d'action pour empêcher une guerre, par tous les moyens. Mais ces actions elles-mêmes ne sont pourtant pas amorales: elles ont un objectif moral à long ou moyen terme qui justifie des actions immorales à court terme, par exemple sauver une population civile en écourtant un conflit, éviter une invasion ou la retarder (nous pensons évidemment à la situation au Dombas). Mais puisque ces circonstances violentes sont monnaie courante dans le monde, comment imaginer une politique dans laquelle les lois morales s'imposeraient toujours, sans concession?

[et là bim, je t'envoie une problématique, comme ça, paf, en sautant une ligne parce que c'est quand même vachement plus lisible, non?]

Comment la politique peut-elle être motivée par la morale tout en étant confrontée aux conditions qui abolissent la morale?

[et on passe aux définition: parce qu'au bout d'un moment, en philo, il faut savoir de quoi on parle]

Nous entendons pas politique la partie des activités humaines qui s'occupent d'organiser la société de façon pratique, par la décision d'objectifs (pouvoir exécutif) et la production de lois (pouvoir législatif). Nous n'incluons pas, en revanche, le pouvoir de renforcer cette loi sur le terrain (c'est le domaine de la police), ou d'appliquer et d'interpréter les lois pour chaque crime (c'est le domaine de la justice).

Nous entendons par morale l'activité intellectuelle qui cherche à comprendre et expliciter le plus clairement possible les règles d'action considérées comme justes ou bonnes (tout en gardant la capacité de critiquer et définir exactement les concepts de "bien" et de "justice"). La morale n'est pas unique, elle se décline en au moins trois grandes traditions que sont la déontologie (exprimer la morale sous la forme d'un code de conduite et identifier le bien moral au respect du code: c'est la tradition morale judéo-islamique), l'éthique conséquentialiste (juger du bien et du mal selon les résultats d'une action, ce qui amène à exprimer la morale par la forme souple de directions, de visée morale, sans définir un code qui devrait explicitement couvrir chaque situation, mais en laissant plus ouvert le concept de "bien" qui sera visé par une éthique conséquentialiste), et enfin l'éthique de la vertu, issue des traditions grecques puis chrétiennes, identifier des qualités et des modèles définis comme exemples de vertu, puis s'efforcer d'y ressembler (l'éthique de la vertu perd en précision sur les concepts, les règles ou les objectifs, mais elle gagne en exercice pratique et en illustrations, elle développe une pédagogie de la morale: difficile pour un vertueux de définir exactement la nature de sa vertu, mais il lui sera aussi difficile de changer ses habitudes morales).

L'absence de morale sera considérée ici comme une contradiction totale, un néant moral. On ne peut donc pas considérer l'immoralité des politiques comme une "absence de morale en politique": lorsque le couple Fillion pratique l'emploi fictif à l'Assemblée Nationale, ils sont dans l'immoralité et ils le savent très bien puisqu'ils essaient de dissimuler les preuves et de minimiser l'affaire. Ils ne sont pas dans l'amoralité, qui consisterait à nier entièrement les exigences morales de leur situation, sinon ils diraient simplement aux critiques "et alors?". Il est important de préciser la nature de "l'absence morale" dès maintenant pour ne pas tomber dans des arguments sémantiques stériles par la suite.

[et là, tu fais ton annonce de plan, boum!]

 

 

Bon, c'est bien beau tout ça, mais tu écris quoi, ensuite? Est-ce que tu as des idées d'arguments philosophiques pour ou contre l'absence de morale en politique? Est-ce que tu sais comment tu vas articuler ton plan? Je te laisse réfléchir. Mais bon, je t'ai écris une intro de la taille d'une petite dissertation, il y a suffisamment d'exemples pour une copie double.

Je te lance une perche quand même: il y a des arguments à chercher du côté de Machiavel, dans Le Prince.

Merci beaucoup ! Et aussi merci bien pour les petites doses d'humour, moi aussi je suis du genre citations pompeuses ahah. Et j'avais déjà dans la tête de faire un lien avec Le Prince, mais je ne voyais pas comment le faire, maintenant avec ton intro ça va aller comme sur des roulettes je pense ! Merci infiniment !

 

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