nepenthes Posté(e) le 8 septembre 2020 Signaler Posté(e) le 8 septembre 2020 Bonjour, je dois écrire ce poème à la forme mélioratif : Le bruit des cabarets, la fange du trottoir, Les platanes déchus s'effeuillant dans l'air noir, L'omnibus, ouragan de ferraille et de boues, Qui grince, mal assis entre ses quatre roues, Et roule ses yeux verts et rouges lentement, Les ouvriers allant au club, tout en fumant Leur brûle-gueule au nez des agents de police, Toits qui dégouttent, murs suintants, pavé qui glisse, Bitume défoncé, ruisseaux comblant l'égout, Voilà ma route - avec le paradis au bout. Voici ce que j'ai fais merci pour vos commentaires : la musique des cabarets, les trottoirs aux pavés neufs Les platanes aux feuilles flamboyantes brillants dans un air pur omnibus, oeuvre fascinante de fer et de boues au bruit des roulements suaves bien installés entre ces 4 roues et roule ses yeux verts et rouge lentement les hommes sortant du travail se désalterant en passant prêt des policiers faisant leur routine toits reluisant au soleil, murs perlants, pavé filants chaussée recente, ruisseau courant dans les canalisations voila ma route avec le paradis au bout Citer
E-Bahut moîravita Posté(e) le 8 septembre 2020 E-Bahut Signaler Posté(e) le 8 septembre 2020 Le 08/09/2020 à 17:59, nepenthes a dit : Bonjour, je dois écrire ce poème à la forme mélioratif : Le bruit des cabarets, la fange du trottoir, Musique des cabarets , trottoirs aseptisés, Les platanes déchus s'effeuillant dans l'air noir, Platanes flamboyants de feuilles dans l'air frais L'omnibus, ouragan de ferraille et de boues, Omnibus maquillé de fer , d'ocre et de sable , Qui grince, mal assis entre ses quatre roues, un air d'accordéon équilibrant ses roues Et roule ses yeux verts et rouges lentement, dont les yeux verts et rouges clignotent lentement Les ouvriers allant au club, tout en fumant les ouvriers allant fumer au club et agaçant Leur brûle-gueule au nez des agents de police, des volutes de leur pipe les agents de police, quand les toits s'illuminent , les murs perlant de rosée , quand les pavés miroitent , bitume à peine posé, quand déferlent les ruisseaux dans les avaloirs , Voilà ma route - avec la vie au bout . Toits qui dégouttent, murs suintants, pavé qui glisse, Bitume défoncé, ruisseaux comblant l'égout, Voilà ma route - avec le paradis au bout. Voici ce que j'ai fais merci pour vos commentaires : la musique des cabarets, les trottoirs aux pavés neufs Les platanes aux feuilles flamboyantes brillants dans un air pur omnibus, oeuvre fascinante de fer et de boues au bruit des roulements suaves bien installés entre ces 4 roues et roule ses yeux verts et rouge lentement les hommes sortant du travail se désalterant en passant prêt des policiers faisant leur routine toits reluisant au soleil, murs perlants, pavé filants chaussée recente, ruisseau courant dans les canalisations voila ma route avec le paradis au bout Expand J'ai un peu changé ton texte , mais il est très bon , quoique prosaïque . Je ne sais pas ce que tu en penses ... Citer
nepenthes Posté(e) le 8 septembre 2020 Auteur Signaler Posté(e) le 8 septembre 2020 Merci beaucoup pour votre réponse. Effectivement je peux dire que mon texte n'est pas assez poétique . je vais le perfectionner avec certaines de vos idées auxquelles je n'avais pas pensé. Merci d'avoir pris le temps de me répondre. Bonne soirée Citer
E-Bahut moîravita Posté(e) le 9 septembre 2020 E-Bahut Signaler Posté(e) le 9 septembre 2020 Bon travail . Citer
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