asiatik4700 Posté(e) le 2 novembre 2005 Signaler Posté(e) le 2 novembre 2005 Je n'arrive pas à faire le commentaire composé sur "Reverie de nouvel an" extrait de: Les vrilles de la vigne écrit par Colette. Jai les 2 axes: Montrer la complicité entre la narratrice et ses deux compagnes. Et Analyser le bonheur de cet instant privilégié de communion avec le monde et d'harmonie entre les etres.Je dois le rendre demain!Aidez moi svp!
asiatik4700 Posté(e) le 2 novembre 2005 Auteur Signaler Posté(e) le 2 novembre 2005 Jai oublié, le commentaire est de la ligne 1 "Toutes trois nous rentrons poudrées" à la ligne 23 "qui récompense les marches longues..."
E-Bahut Totochita Posté(e) le 2 novembre 2005 E-Bahut Signaler Posté(e) le 2 novembre 2005 Si tu veux qu'on puisse t'aider, ca serait bien que tu donnes le texte a commenter aussi.. Scanne le, ou bien re-ecris le.. Et puis es tu sure d'avoir vraiment chercher a le faire, parce que si tu as les deux axes, alors il n'y a plus vraiment de probleme.. Faut juste se lancer..
asiatik4700 Posté(e) le 2 novembre 2005 Auteur Signaler Posté(e) le 2 novembre 2005 Voila le texte: Toutes trois nous rentrons poudrées, moi, la petite bull et la bergère flamande... II a neigé dans les plis de nos robes, j'ai des épaulettes blanches, un sucre impalpable fond au creux du mufle camard de Poucette, et la bergère flamande scintille toute, de son museau pointu à sa queue en massue. Nous étions sorties pour contempler la neige, la vraie neige et le vrai froid, raretés parisiennes, occasions presque introuvables, de fin d'année... Dans mon quartier désert, nous avons couru comme trois folles, et les fortifications hospitalières, les fortifs décriées ont vu de l'avenue des Ternes au boulevard Malesherbes, notre joie haletante de chiens lâchés. Du haut du talus nous nous sommes penchées sur le fossé que comblait un crépuscule violâtre fouetté de tourbillons blancs ; nous avons contemplé Levallois noir piqué de feux roses derrière un voile chenillé de mille et mille mouches blanches, vivantes, froides comme des fleurs effeuillées, fondantes sur les lèvres, sur les yeux, retenues un moment aux cils, au duvet des joues... Nous avons gratté de nos dix pattes une neige intacte, friable,. qui fuyait sous notre poids avec un crissement caressant de taffetas. Loin de tous les yeux, nous avons galopé, aboyé, happé la neige au vol, goûté sa suavité de sorbet vanillé et poussiéreux... Assises maintenant devant la grille ardente nous nous taisons toutes trois. Le souvenir de la nuit, de la neige, du vent déchaîné derrière la porte, fond dans nos veines lentement et nous allons glisser à ce soudain sommeil qui récompense les marches longues... Je commence juste à étudier les commentaire composé et j'ai un peu de mal,de plus je trouve que ce texte est un peu dur. Merci d'avance
asiatik4700 Posté(e) le 2 novembre 2005 Auteur Signaler Posté(e) le 2 novembre 2005 Aidez moi svp ! Merci bcp à ceux qui me viendrez en aide!
asiatik4700 Posté(e) le 2 novembre 2005 Auteur Signaler Posté(e) le 2 novembre 2005 J'ai quelques idées mais j'aimerais savoir si c'est à peut près sa ou non? 1/La comunion entre la narratrice et les etres: a) L'association de la narratrice avec les chien "nous","notre","nos"; b)La description détaillé de la narratrice ainsi que des chiens 2/Le bonheur de cet instant privilégié de communion avec le monde et d'harmonie entre les etre: A-communion avec le monde: a/champ lexical de la nature ou du paysage b/les plaisirs des sens (le gout"gouté sa suavité",le touché"happé la neige au vol"loui"crissemant caressant de teffetas") B-Harmonie entre les etre: la je ne c pa trop... Pouvez vou me dir ce qui va et ce qui ne va pas svpl.Merci
E-Bahut Totochita Posté(e) le 3 novembre 2005 E-Bahut Signaler Posté(e) le 3 novembre 2005 Je te reponds vite fait parce que la je pars en w-e.. ( a la plage mdr ) Je ne vois pas dans le texte la description detaillee de la narratrice.. Mais au depart, on ne sait pas qu'elle parle de chiens.. Ensuite, on dirait presque que les trois sont des chiens, on en vient mm a se demander si c'est pas un chien qui raconte.. Et de tout cela, on peut en ressortir le sentiment d'une grde amitie, mm malgre le fait qu'elles ne sont pas toutes trois humaines.. On voit comme elles partagent ensemble les mm plaisirs, sans forcement avoir besoin de parler... Au depart, elle joue avec les mots, c'est ambigu.. "dans le pli de nos robes".. Oui, la robe des chiens evidemment.. mais ce n'est pas a cela qu'on pense quand on le lit.. Ce n'est qu'apres qu'on s'apercoit que c'est de chiens dont elle parle.. Elle leur prete aussi des actions humaines, "nous etions sorties pour comtempler la neige".. C'est la narratrice qui est sorti comtempler la neige, et les chiens l'ont suivie.. Ensuite, elle se prete a elle meme des "habitudes" de chien.. On voit aussi une descritpion detaillee des lieux ou elles passent.. Mais c'est vu avec des yeux d'humain, et pourtant c'est toujours a la premiere personne du pluriel.. Il n'y a pas de differences pour elle, ces chiens sont comme des humains, et elle est aussi un peu "chien".. je ne sais pas si tu me comprends.. mais je pense que tu as du le ressentir aussi ds ta lecture... Elle joue avec cette ambiguite dans les deux sens.. on ne sait plus si ce sont des humains ou bien des chiens.. et quand on croit avoir compris, elle prend dans l'autre sens... Il y a un fort champ lexical qui s'applique a une personne, et aussi un autre qui s'applique aux animaux.. Je pense que tu dois les relever aussi... Tout le texte montre la relation priviliegiee et fusionelle qu'elle a avec ses chiens.. Bon, voila vite fait ce que j'en tire de ma premiere lecture.. j'espere que ca pourra t'aider un peu plus.. Tu dois expliquer avec tes propres mots, ce que tu ressens a la lecture de ton texte.. ce que tu comprends.. comment l'auteur te le fait percevoir.. les sentiments qu'il veut faire passer.. Avec quoi? comment ? etc.. Julie
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