AXEL789

je pense que tu pourras expliquer la citation de Schopenhaeur avec ces petites informations.
bonne continuation
 

oui ,
mais toujours selon certains philosophes , c'est vraiment un débat ouvert où les thèses diffèrent.
le désir est un tyran si on a pour objectif de le satisfaire à tout prix.
 le fait de céder à l’impétuosité du désir, être incapable de le maîtriser revient  à perdre toute liberté et tout choix .
Ensuite, il faut prendre en considération qu'il y a des désirs nécessaires comme le besoin de boire ou de manger
et d'autres plus futiles  ( Schopenhaeur ne tient pas compte de cette hiérarchie des désirs et c'est ce que lui reproche ses détracteurs)
 

oui c'est cela
le propre du désir est de renaître sans cesse .
dans l'exemple des danaïdes, lorsqu'elles semblent arriver au but -> remplir de tonneau 
(c'est à dire quand elles viennent juste de verser leurs jarres d'eau )
le tonneau semble plein, mais ce n'est qu'illusion, car il se vide déjà (vu qu'il est troué );
c'est un travail inutile et interminable -> pour les danaïdes c'est une punition du fin fond de l'enfer .
on ne peut jamais atteindre la plénitude (  le bonheur) en cherchant à assouvir ses désirs , c'est une poursuite désespérée.
tu peux rechercher sur le net, l'histoire des danaïdes dans la mythologie
( il y a plusieurs versions mais la finalité est la même).
 
ensuite concernant le désir,  il y a plusieurs  thèses philosophiques
par exemple la thèse comme quoi le désir est un moteur qui te fait avancer ;
(mais c'est une autre histoire !!! et certainement pas à voir du côté de Schopenhaeur    )
 

bonjour
celui que je connais le mieux des 3 personnages sont les Danaïdes ..
tu connais sans doute leur histoire :
ces 49 jeunes femmes furent condamnées par Zeus à un châtiment éternel pour avoir tué leur époux le soir de leurs noces ,
elles furent condamnées à remplir sans arrêt un tonneau percé.
cette scène est reprise par Socrate ( dans le Gorgias)  pour imager ce qu'est le désir. Le tonneau ne pourra jamais se remplir, 
malgré les jarres d'eau que l'on verse dedans puisque il est troué et que l'eau s'écoule.
Le désir renait sans cesse, et vouloir satisfaire tous ses désirs serait une course épuisante et perdue puisqu'on ne peut 
pas arriver à une finalité. L'acharnement ne peut qu'engendrer la frustration et le manque , de plus on y perd notre liberté, on n'a plus d'autre choix
et d'autre objectif de d'assouvir le désir, de même que les danaïdes n'ont d'autre choix que de verser leur jarre d'eau dans le tonneau .
c'est une course éperdue pour trouver un bonheur qu'on espère et qu'on n'atteindra jamais : on passe à côté d'une vie bonne.
( ou de la vie tout court). Ce tonneau percé qu'on rempli sans cesse dans l'espoir de le voir plein, alors que c'est impossible
montre le mécanisme du désir, on le satisfait, mais tout de suite on a envie d'autre chose... c'est une quête infinie.
 
il faut savoir que Schopenhaeur est un philosophe noir de chez noir ( très pessimiste) .
Quand tu es au fond du trou, il pense que le pire est encore à venir   

bonjour
pour t'aider à commencer
1)
 
h(x) = f( ax+b) = e^(-x)
h'(x) = a f '(ax+b)
h '(x) = -1 * f '( e-x)'
h '(x) = - e -x 
 
2)
h(x) = e^(ax+b)
h'(x) = a* f '(ax+b)
h'(x) = a * e^(ax+b)
 
3)
dérivée
signe de la dérivée puis tableau de variations
ex - x -1    > 0        =>   ex   >  x + 1

Correct.

Merci à vous deux de m'avoir fait remarquer mon étourderie !! C'est bien u'×n×un-1
La honte est sur moi !!

Oui mais il ne faut pas utiliser la même variable x pour les fonctions f et g et la relation que tu utilises est écrite de manière  incorrecte. Elle doit s'écrire (f(g(x))'=g'(x)*f'(g(x)).
h(x) est une fonction  composée que tu peux écrire f(g(x)) avec  g(x)=-4*x+3 et f(g(x))=(-4*x+3)^3=g(x)^3. Si tu appliques la relation de dérivation des fonctions composées alors (f(g(x))'=g'(x)*f'(g(x))  ==> g'(x)=(-4*x+3)'=-4 et f'(g(x))=(g(x)^3)'=3*g(x)^2 le résultat est donc (f(g(x))'=g'(x)*f'(g(x)) =(-4)*(3*g(x)^2)=-12*g(x)^2=-12*(-4*x+3)^2. C'est bien ce que tu obtiens mais avec un raisonnement qui n'est pas correct selon moi.
 

Bonjour Axel,
Ci-dessous, un exemple pour faire les deux premiers. On utilise seulement la formule de la dérivée des fonctions composées et plus précisément le cas particulier (un)' = u'×un-1

C'est ça, car il nécessite 2 fois moins de bits. Par contre, la qualité de restitution du son sera évidemment moins bonne, mais ce n'est pas ce qu'on considère dans cet exercice, donc, inutile d'en parler.

Bonjour,
L'échelle horizontale est  graduée en ms. Il y a 10 ms sur la largeur du graphique. Tu vois que pour le premier signal il y a 3 échantillons pour 2 grands carreaux (ou 15 pour 10 carreaux) tandis que pour le deuxième il y en a  5 par carreau (50 pour les 10 carreaux). Tu peux en déduire la période d'échantillonnage puis la fréquence.
 
On te dit que c'est un la 440 Hz. D'après le théorème de Shannon, quelle doit être la fréquence minimale d'échantillonnage ?

Tu as raison de ne pas être sure !
10 ms pour 15 périodes => 1 période = 10/15 = 0,667 ms
10 ms pour 50 périodes => 1 période = 10/50 = 0,200 ms (mais moi, je compte 51 périodes, ce qui donne 0,196 ms).
 

Je ne vois pas d'où tu tires tes valeurs. Si tu raisonnes sur deux points consécutifs, tu obtiens environ 3 carreaux pour le signal 1, soit 1/5*3=0,6 ms et environ 1,61 carreau pour le signal 2, soit 1/5=0,2 ms .
Les fréquences sont donc de 1/(0,6*10-3)=1,66 kHz et 1/(0,2*10-3)=5 kHz.
Les deux fréquences respectent a priori le critère de Shannon, puisqu'elles sont supérieurs à 2*440 Hz, mais il est évident que, dans le deuxième cas, l'échantillonnage est nettement meilleur.

Il faut compter le nombre de paliers de hauteurs différentes. Pour le signal 3, j'en trouve 4, pour le signal 4, j'en trouve 16, voir fichier joint ci-dessous où j'ai tracé des horizontales en noir pour essayer de ne pas en oublier.

Pour le nombre de bits, il faut se rappeler :
* qu'avec 2 bits, on peut coder 4 valeurs : 00, 01, 10 et 11. Donc 2 bits suffisent pour le signal 3.
* que pour coder 16 valeurs, il faut 4 bits : 0000, 0001, 0010, ... , 1110, 1111. Il faut donc 4 bits pour le signal 4.
Je te laisse conclure pour la dernière question.

Ceci devrait t'aider à comprendre.....

Ep (A) = mgh où h est la différence de hauteur  entre ce point A et le point choisi comme origine (hauteur 0) qui est le point O.
h = L(1 - cos max) fait un petit dessin pour voir ça mais c'est dans tous les cours. Comme dit par Barbidoux, comme l'énergie mécanique du pendule isolé est constante, il y a transformation d'énergie potentielle (non nulle quand il n'est pas au point O et maxi quand il est en A, en haut de sa trajectoire)  en énergie cinétique (vitesse maxi quand il est en O et vitesse nulle en A)
donc  : ( Ep + Ec) en (A)  = (Ep+Ec) en  (O) (conservation de l' énergie mécanique totale)
ici, ça s'écrit en particulier  Ep en A = Ec en O     (1)
et Ec en O = (1/2) m .(Vmax) ² ; c'est ce V max qui intervient dans la formule donnée pour la tension de la corde , c'est ça qui détermine si ça craque ou si ça passe.
(1) s' écrit :  mg L (1-cos max) = (1/2)  m (Vmax)² ; tu en tires m (Vmax)² et tu reportes dans la tension T au point O , là ouù elle est maximale puisque c'est à cet endroit que V =Vmax . Or , en O,  = 0,  donc T =.....
 
 

ce que dit B., c'est que E mécanique totale = Ep +Ec (potentielle  +mécanique ) = constante 
-que Ep(A) = Ep  maxi car c'est le point le plus haut qui peut être atteint 
 - en A, Ec =0 (le mec s'arrête de se balancer pour soit redescendre soit prendre pied ) 
- que Ec (O) =  Ec maxi (car vitesse v0 maxi au plus bas de la trajectoire et vitesse nulle au point le plus haut)
- en O , Ep =0 (point le plus bas
donc la limite de T à ne pas dépasser est obtenue pour v maximum donc en bas de la trajectoire (point O)  comme l'explique B. 
la différence d'altitude entre le point le plus bas et le plus haut est dans tous les livres (il faut savoir le retrouver, quand même !) , c'est h = L(1-cos  max )
la tension limite, sauf étourderie dûe au virus, est selon moi : T = mg + 2mg (1-cos  max) ; d'ailleurs on ne donne pas la valeur de L dans l' énoncé.
 

Bonsoir,
Je ne suis pas spécialiste des probas, donc je te conseille de poster la traduction en français ci-dessous (à vérifier tout de même) dans le forum "mathématiques".
Lors d'un échange( scolaire ?), les étudiants ont regardé 2 films. Les enseignants constatent que 70% des élèves aiment le film A, 80% le film B et 68% les deux
  1. On demande à un élève quel film il aime. Soit A l'événement: "Il aime le film A" / Soit B l'événement: "Il aime le film B"

a) Calculez la probabilité que l'élève n'aime pas le film A ou pas le film B.

b) Calculez la probabilité que l'élève n'aime aucun des deux films.

2. Trois étudiants sont questionnés indépendamment. Calculez la probabilité qu'au moins un élève aime le film B.  

Lis le très bon article qui se trouve à https://www.histoire-pour-tous.fr/histoire-de-france/2848-le-rattachement-de-nice-et-de-la-savoie-a-la-france-1860.html Tu auras toutes les réponses sur les réticences de certains niçois à cette annexion à l'adresse que je t'ai donnée.

La tension de la corde sera maximale au point O de la trajectoire point où le poids s’’ajoute à la force centrifuge. Il suffit d’évaluer la vitesse de l’alpiniste en ce point en supposant que son énergie mécanique se conserve et qu’au point O (pris comme altitude de référence) son énergie cinétique est maximale et son énergie potentielle nulle alors qu’en A c’est le contraire. De la conservation de l’énergie potentielle de l'alpiniste on déduit l'expression de VO (vitesse de l’alpiniste au point O) en fonction de g et theta qu’il suffit de reporter dans l’expression de T et d'en calculer la valeur au point O pour conclure.