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volcano47

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Tout ce qui a été posté par volcano47

  1. Ja es ist nicht sehr ernst....
  2. volcano47

    Aide maths urgent SVP

    oui l'aire du triangle , c'est toujours bh/2 ; ici comme base on prend OA et la hauteur AB (c'est un demi rectangle puisque B et A ont même abcisse. Et la mesure de AB, puisque B d'abcisse xappartient à la courbe dont on connait l'équation c'est.....
  3. je pense que " de F on trace la parallèle à BC qui coupe AC en E" ? (ce qui semble implicite sur la figure) .........sinon , je ne vois pas comment traiter ce problème si FE est quelconque. Mais ça montre chez les auteurs du livre (et chez l'éditeur ) un certain laisser aller dans la rigueur. Les maths, ce n'est pas le domaine de "l'implicite".
  4. pour le fond , un autre sera plus inspiré que moi ; mais sur la forme, j'espère que ce n'est qu'un brouillon.....
  5. tout ceci est un peu lointain et donc il faudrait mieux que des "pointures " du site vérifient. J'ai écrit que la poutre ne se soulèvent pas et ne s'enfonce pas donc , vectoriellement : Ra+Rb +F1+F2+F3 =0 Elle ne tourne pas donc : M Rb/a +M F1/a +M F2/a +M F3/a =0 (où M Rb/a signifie "moment de Rb par rapport au point A). Et avec le fait que puisque Ra est appliquée au point A son moment est nul par rapport à ce point. On écrit la même chose en considérant le point B , d'où une deuxième équation avec des /b au lieu de /a. En projection verticale des vecteurs, on a F1, F2, F3 de directions opposées à Ra et Rb donc Ra+Rb - (F= +F2+F3)=0 algébriquement De même, la réaction Ra tend à"soulever" la poutre autour du point B et inversement pour la réaction Rb autour de A. Leurs moments sont donc de signe contraire. Et à titre d'exemple de calcul de moment (=force x distance du point d'application de la force au point considéré), j'ai numériquement : M Rb/a = (0,8+1,6+1,6) Rb =4 Rb (en mètres . N) et même genre de calcul pour les autres moments par rapport à A à B Ra+Rb =F1+F2+F3 (voir plus haut) donne Ra +Rb =7200 N bref , en touillant ceci avec les deux équations sur les moments, j'arrive à Ra= 5Rb/4 d'ù Rb=3200N et Ra =4000 N A vérifier car les erreurs de calculs sont toujours possibles.
  6. oui mais il faudrait voir comment ça se présente, comment les éléments sont agencés , donc il manque la figure ui devait être jointe.
  7. volcano47

    Chimie

    erreur :pour 60 km/h , Df =22 m ; je ne comprends pas ta phrase un peu... illisible ; pour montrer la non proportionnalité il doit être demandé la méthode traditionnelle : faire les rapports Df/V du tableau et montrer qu'il ne sont pas constants ; rappel : deux grandeurs variables (ici on s'intéresse à Df et V ) sont proportionnelles quand leur rapport est constant. Alors si on trace le graphe d'une grandeur en fonction de l'autre , on obtient une droite. Ici Df en fonction de V est incurvé (en fait ça s'appelle une parabole) car D est proportionnelle à l'énergie cinétique du véhicule donc au CARRE de la vitesse : quand on passe de 20km/h à 60, donc une multiplication par 3 (=60/20) , la distance Df est dans un rapport 22/2,4= 9,17 en raison des erreurs de mesure, mais en fait la valeur théorique est 9 car 9= 3² ) L'énoncé n'est pas clair. Le calcul de l'énergie cinétique (Ec), je n'ai pas vérifié, c'est une question de calculette, donc il suffit d'être soigneux. Mais je pense qu'on demande aussi de faire les rapports Df/Ec , ce semble être la droite que tu as tracé ; si tu trouves une droite c'est que c'est bon mais présente mieux, indique ce que représente ton graphe etc.. récapitulation de ce qu'il faut présenter plus soigneusement : Df n'est pas proportionnelle à V mais Df est proportionnelle à l'énergie cinétique donc à V² (puisque Ec =mV²/2 avec m masse de la voiture)
  8. volcano47

    Chimie

    tu vois bien que dans la phase 1 pendant des intervalles de temps égaux t (le texte ne précise pas mais les photos sont prises à intervalles de temps égaux) la voiture parcourt des distances égales d. v=d/t = constante : pendant la phase 1 l'auto n'a pas encore commencé à freiner , c'est le temps de réaction pendant lequel on parcourt Dr. Le mec (ou pas) appuie enfin sur le frein : mouvement uniformément accéléré (ralenti car avec accélération négative : la vitesse décroit); c'est la distance de freinage pendant la phase 2 4) et 5) réponses dans le commentaire, à côté du texte
  9. volcano47

    Devoir de science

    L'éclairement lumineux E correspond à un flux lumineux reçu par unité de surface. Son unité est le lux dont le symbole est lx. Il correspond à un flux lumineux de 1 lumen (lm) couvrant uniformément une surface de 1 mètre carré (m²). L'éclairement peut être mesuré à l'aide d'un luxmètre (Internet). 1) surface S de la feuille : ça devrait aller ? 2) E (lux)= (lm) / S (m²) donc = E.S tu as tout ce qu'il faut pour commencer (je ne peux pas me débarasser des caractères gras, peut importe). 3) Internet , que tu peux aussi consulter dit ceci : L'efficacité lumineuse d'un rayonnement est le rapport du flux lumineux Φv sur le flux énergétique Φe. Son unité est le lumen par watt (lm·W−1). ... K(λ) = Km·V(λ) est l'efficacité lumineuse spectrale en lumens par watt (lm·W−1). Donc tu as tout là aussi: ce ne sont que des multiplications.
  10. volcano47

    Schéma électrique

    1)Si p et n sont les bornes de la batterie (ou pile) et A l'entrée de la résistance, B sa sortie, les points reliés entre eux sont au même potentiel électrique c'est "le même point" électriquement. Vp=Va et Vn = Vb Donc Vp-Vn = Va-Vb ou encore EuU et la loi d'ohm donne E= RI . Les puissances sont données par P=Ui , voir cours. 2) Ensuite U1 =U2 = U puisque là encore dans le cas de dérivation, on a les mêmes entrées et sorties de résistances. Donc Ra Ia = Rb Ib = U et le courant total est Ia + Ib = I (appelé I1 ou I2 dans l'énoncé mais c'est encore le même I1=I2=I ); I est le courant total émis par la pile ( comme un flux d'eau le flux d'électrons ne se perd pas : ce qui entre = ce qui sort). Le courant total I parcourt une résistance équivallente R : si au lieu de Ra et Rb en parallèle (ou en dérivation) on avait une certaine résistance R, le courant mesuré par un ampéremètre quelque part dans le circuit (par exemple avant l'entrée commune ou après la sortie commune de Ra et RB mais PAS dans une branche évidemment) serait le même I si on avait RI =U et donc I= Ia+Ib = U/R = U/Ra + U/ Rb et tu retrouve le cours : la résistance équivalente est R telle que 1/R = 1/Ra + 1/Rb. (le reste c'est calculatoire...) Donc physiquement la résistance EQUIVALENTE est la branche unique qui donnerait le même effet physique que les deux branches ou dérivations. En terminale, tu généralisera celà à des cas où, au lieu de résistances "mortes" en courant continu, on a des "impédances" en courant alternatif (courant d'intensité variant dans le temps comme dans tes prises électriques). Mais on n'en est pas là. Avec n branches, ce serait pareil , (voir cours)
  11. volcano47

    satellite géostationnaire

    Samira1107 : tu intitules ton message "satellite géostationnaire" ! Comme le fait remarquer Black Jack, ça n'a aucun rapport ; je te conseille de regarder ce qu'est un satellite géo -stationnaire (utilisé en télécommunications par exemple), pourquoi il est situé à 36.000 km d'altitude etc...
  12. ensuite c'est le théorème de Thalès qui prend le relais car (distance piste av1)/ (distance piste av2) = (altitude av1 / altitude av 2) Un coseil commence à joindre au devoir une figure ou tu renommes tous ces points "piste " "avion 1" etc....pour plus de facilité d'écriture. tu justifieras d'abord brievement que cette relation est valable dans un triangle rectangle d'hypothénuse = piste-avion 1) et la verticale de l'avion 1et l'autre triangle rectangle semblable avec l'hypothénuse = "piste - avion 2" et la verticale de l'avion 2 . tu connais la longueur de la verticale (4x 2000 = 8000 pieds) et la longueur des hypothénuses (les distances des avions à la piste à convertir en mètres ou en km peu importe mais ...même unité pour les deux !)
  13. dans le terme C2r²v², v représente le carré de la vitesse ? c'est (vz)² le même que dans C1rvz ? Là je vais partir mais ça m'intrigue un peu. Pour ces vitesses là, en général, on a un frottement proportionnel à la vitesse , ce qui donne une résolution simple, exponentielle de décroissance de la vitesse jusqu'à une vitesse limite assymptotique (c'est abondamment traité sur Internet : ch ute d'une bille dans liquide visqueux)
  14. Une tension continue variable signifie que les bornes + et - de l'alimentation sont toujours les mêmes , le courant entre et sort dans le circuit (ici le moteur) par les mêmes points. Contrairement à une tension alternative qui s'inverse périodiquement (comme le "secteur" dont la fréquence est 50 Hz). Variable parceque l'amplitude de la tension (en volts) peut être (par exemple pour un petit ventilateur) de 5V puis 6, .... comme on veut dans les limites du générateur utilisé. on indique que le matériel utilisé est un générateur continu à tension E variable et sans doute lisible sur un cadran du genre de ceux que vous avez dû utiliser en TP ; je suppose qu'il suffit de faire un schéma avec un générateur alimentant le moteur (moteur relié aux bornes du générateur ) et un interrupteur en série agissant sur un des deux conducteurs (sortie + ou sortie -) et faire des relevés de la vitesse de rotation pour différentes valeurs de E . Par exemple avec un repère ou un stroboscope ou un moyen qu'on a dû vous indiquer , compter le temps de 20 ou 50 ou...n rotations de l' hélice et voir si ce temps diminue lorsque E croit. La réponse est oui, l'hélice tourne plus vite lorsque E croit car le courant parcourant l'enroulement croit et donc la force magnétique croît puisqu'elle est proportionnelle à I.
  15. ceci devrait éclairer les choses ; n'hésite pas à regarder des petites vidéos il y en a de tous niveaux.
  16. volcano47

    Volume solide

    ceci dit , c'est soigneux, bien présenté, continue !
  17. En fait C8H10....parlait de l'orthographe et pas de l'envie ou non de travailler.
  18. volcano47

    Chimie

    on te donne le tableau : pour l' éthanol, on fournit de l'énergie pour vaporiser puisque l'agitation thermique des molécules est plus grande dans le gaz (leur énergie cinétique en fait). pour 5,76 kg, on fournit E1 =5,76 x 904 kJ (puisqu'on a bien multiplié des kg par des kJ/kilo , c'est cohérent, on a bien des kJ) E1 =5207,04 . 10^3 kJ = 5,20704 .10^6 J ou avec la précision demandée E1 =5,21 .10^6 J
  19. Elise : score S1 = 5x 1000 + (n-5) x 150 (qui signifie que 5 fléchettes marquent chacune 1000 points et que le reste (donc n-5 fléchettes) marquent chacune 150 points. Le score total est la somme de tous ces scores. Pour développer tu effectues les opérations ; en particuliers : (n-5) x 150 = n x 150 + 5x 150 (tu as dû voir la distributivité) donc pour le score Elise : S1 = 5000 +150n + 750 = 5750 +150 n. A ce stade , on a encore une variable qui est n; on connaîtra numériquement le score ( c'est à dire avec un nombre à la place de la lettre n) quand on connaîtra la valeur de cette lettre n : c'est ce qu'on nous dit plus loin avec n=17. Il suffit alors de faire 5750 + 150 x17 . Tu procèdes de même avec les autres. Avec le même n (17 ) pour chacun tu peux comparer les scores S1, S2, S3.
  20. volcano47

    Dénombrement

    c'est vrai , j'avais implicitement compris qu'il y avait une seule lettre et trois chiffres, mais l'énoncé n'était pas très détaillé comme assez souvent je trouve. Donc ne t'excuse pas pzorba ! et salut matinal
  21. volcano47

    Dénombrement

    avec trois chiffres, on aurait 1000 possibilités (de 000 à 999) avec trois chiffres et la lettre A, on a les A000 , 0A00, 00A0,000A, A001, 0A01, 00A1,001A,....., 99A9, 999 A : si je compte bien 4 x 1000 avec les 5 lettres , ça ferait 5x4x1000 = 20.000 mais j'ai toujours peur d'en oublier , ça me semble faible ; à vérifier
  22. enes 4690, c'est vrai ce que dit Camus ; on essaye de t'aider mais on comprend rien à ce que tu racontes, fais un effort ! T'as appris le français avec Tarzan ? Essaye la ponctuation, essaye de t'exprimer comme sur une copie ; sinon, je peux te dire pour que tu comprennes mieux, que ton bac, nous, on s'en balec ....
  23. non mais la question posée était aussi : " pourquoi introduit on la notion d'équation différentielle ?" C'est lorsque la fonction est inconnue mais qu'on connait seulement justement la relation qui existe avec la ou les dérivées. Et on est interessé par cette fonction qui permet de faire de la physique justement quantitative, c'est à dire prévisionnelle grâce aux "lois" mathématiques. Par exemple : la loi du pendule (ou des forces de rappel proportionnelles à l'élongation) On écarte le pendule simple d'un angle (supposé petit sinon le calcul est difficile). On n' a a priori aucune idée de la loi a(t) (angle en fonction du temps) et voudrait bien la connaître. On fait le bilan des forces on voit que le couple de rappel est proportionnel à sina ~a ; on écrit le principe fondamental de la dynamique et hop ! la voilà notre équation différentielle : elle est venue toute seule ; et seule cette relation entre a et sa dérivée seconde /temps permet de trouver la loi a(t) .On recherche des équations différentielles comme on recherche une relation ou des relations quelconques c'est à dire des équations reliant des grandeurs(mais non différentielles quand il n'y a pas de variations) dans beaucoup de cas. Ici les grandeurs sont reliées (dérivées , primitives) c'est tout.
  24. volcano47

    Dm math urg

    il faut quand même essayer de faire quelque chose toute seule ! Il faut savoir que si ABC est équilatéral , on a AB= AC est donc la médiane AI fait un angle bien particulier avec le côté BC ; moyennat quoi, , dans le triangle AIB , on peut appliquer un théorème datant de l' antiquité grecque qui, à l' aide de AB (connu) et BI (connu comme moitié de BC) nous donnera la mesure de AI (qui est V3/2 ) Ensuite, on se rappellera que sin = côté opposé / hypothénuse , que cos = côté adjacent /hypothénus
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