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Affichage du contenu avec la meilleure réputation depuis le 16/07/2023 dans toutes les zones

  1. julesx

    Trouver un mot

    Bonsoir, Bravo pour le retour, ça devient tellement rare sur ce site 😀 En ce qui concerne "empreindre", a priori, ce verbe signifie "laisser une trace" d'après quelques informations glanées sur la toile. A moins d'avoir des chaussures crottées ou de marcher pieds nus mouillés (ou sales), je ne vois pas comment on peut laisser des empreintes sur un escalier. Mais je ne suis pas spécialiste, poste éventuellement dans le forum "Français" en demandant des explications. Cela dit, c'est peut-être une simple erreur de frappe ou une correction malencontreuse dont sont friands nos logiciels de messagerie. Bon week-end et à une autre fois, peut-être.
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  2. Black Jack

    Trouver un mot

    Bonjour, Aide sans paroles ...
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  3. Denis CAMUS

    Sido questions

    Bonjour, Tu as peur de te faire griller par ton prof ? 😀 Tu fais une demande à zola2 qui est l'administrateur. Moi, je ne peux que supprimer tes messages si tu le souhaites.
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  4. PAVE

    Dm math derivation

    Exercices 1 et 3 : ton prof ne vous fait-il pas déterminer les limites à l'infini ? Exercice 2 : P(0) Au rang n= 0, la propriété s'écrit g(0)(x) = (-1)0 (x-0)e-x = 1*x*e-x =xe-x =g(x) = fonction NON dérivée donc P(0) est vraie. Je me suis contenté de mettre en forme ce que tu avais écrit. NB : Pour mieux contrôler, le processus, on peut, je pense, initialiser au rang 1. Si g(x) = xe-x, on calcule sa dérivée première.... et on trouve g'(x) = g(1)(x) =..... moi j'ai trouvé 😇. On vérifie que la propriété au rang 1, donne le même résultat que le calcul ci dessus : P(1) donne g(1)(x) = (-1)1(x-1)e-x = -(x-1)e-x =>la proposition P(n) est donc VRAIE au rang 1 3) HEREDITE Pour montrer que la propriété est vraie pour tout entier n supérieur à 1, on SUPPOSE que la propriété, VRAIE pour n= 1 (et aussi n=2, n=3...), est VRAIE pour une valeur k de n supérieure à 1 : on suppose donc que pour une valeur k de n supérieure à 1, P(k) est VRAIE soit g(k)(x) = (-1)k(x-k)e-x. Il faut alors démontrer que si P(k) est vraie, alors P(k+1) est vraie. Sachant que g(k)(x) = (-1)k(x-k)e-x, on doit dériver g(k)(x) pour obtenir g(k+1)(x). g(k+1)(x) = [g(k)(x)]' = [(-1)k(x-k)e-x]' [NB : l'expression à dériver est de la forme Cuv avec le facteur constant C = (-1)k, le 2ème facteur étant u(x) = (x-k) et le 3ème v(x)=e-x] Je te laisse faire ce calcul (va doucement et écrit bien ☹️) puis conclure.
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  5. PAVE

    Involution... culturelle !

    Bonjour, Il y a bien longtemps que je n'avais trouvé cette notion (l'involution) dans un exercice de lycée. ll serait intéressant de savoir comment cette notion est abordée en Terminale.
    1 point
  6. Bonjour, Je ne suis pas matheux, je bricole simplement, mais, en attendant mieux... En espérant avoir bien lu, je pars de x/(x²+1)*ln(cosh(x)-1). cosh(x)-1=2sinh²(x/2) Donc ln(cosh(x)-1)=ln(2sinh²(x/2))=ln(2)+2ln(sinh(x/2)) Quand x tend vers l'infini, sinh(x/2) se comporte comme (est équivalent à ?) ex/2/2. Au total, je te laisse vérifier que, compte tenu du fait que x/(x²+1) fait tendre vers 0 les termes constants restants, il ne subsiste que x/(x²+1)*x qui tend donc vers 1.
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  7. PAVE

    Involution... culturelle !

    Quelques rappels :
    1 point
  8. PAVE

    Dm math derivation

    Si tu as besoin d'un peu d'AIDE, nous pouvons t'en donner BEAUCOUP 🙂... Principe : 1) tu poses une question ; on te réponds et on te demande de faire quelque chose (un calcul, une recherche...) 2) tu réponds du mieux que tu peux à notre demande ; on commente ta réponse et si besoin on te propose une nouvelle action (calcul, recherche 3) etc . jusqu'à ce que TU obtiennes la solution de ton problème. C'est un tchat qui peut avancer très vite si tu réponds très vite.... Nous on est là en continu. Application : Pour l'exercice 1, il faut déterminer la fonction dérivée de la fonction f. Tu as essayé ? qu'as tu trouvé (même si tu penses que c'est faux , dis ce que tu as obtenu et éventuellement comment tu l'as obtenu). A toi de répondre... j'attends ta participation 🤔.
    1 point
  9. PAVE

    Dm math derivation

    suite En guise d'étrenne ☺️, voici un petit cadeau qui pourra t'aider à VERIFIER TES REPONSES (tu peux obtenir la courbe représentative de f avec ta super calculatrice)
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  10. Bonjour, J'ai un devoir sur un texte de Bachelard. Voici le texte : Quant à nous, adonné à la lecture heureuse, nous ne lisons, nous ne relisons que ce qui nous plaît, avec un petit orgueil de lecture mêlé à beaucoup d'enthousiasme. Alors que l'orgueil se développe d'habitude en un sentiment massif qui pèse sur tout le psychisme, la pointe d'orgueil qui naît de l'adhésion à un bonheur d'image, reste discrète, secrète. Elle est en nous, simples lecteurs, pour nous, rien que pour nous. C'est de l'orgueil en chambre. Personne ne sait qu'en lisant nous revivons nos tentations d'être poète. Tout lecteur, un peu passionné de lecture, nourrit et refoule, par la lecture, un désir d'être écrivain. Quand la page lue est trop belle, la modestie refoule ce désir. Mais le désir renaît. De toute façon, tout lecteur qui relit une œuvre qu'il aime sait que les pages aimées le concernent. Jean-Pierre Richard dans son beau livre : Poésie et profondeur, écrit entre autres, deux études, l'une sur Baudelaire, l'autre sur Verlaine. Baudelaire est mis en relief, précisément parce que, dit-il, son œuvre « nous concerne ». D'une étude à l'autre, la différence de ton est grande. Verlaine ne reçoit pas l'adhésion phénoménologique totale, à la différence de Bau-delaire. Et c'est toujours ainsi ; dans certaines lectures qui vont à fond de sympathie, dans l'expression même nous sommes « partie prenante ». Dans son Titan, Jean-Paul Richter écrit de son héros : « Il lisait les éloges des grands hommes avec autant de plaisir que s'il eût été l'objet de ces panégyriques [4]. » De toute manière, la sympathie de lecture est inséparable d'une admiration." Et je dois répondre à la question : Pourquoi l'art nous émeut il ? Il faut montrer en quoi/de quelle manière le texte répond à la question. Pouvez-vous m'aider et m'orienter vers des liens ou des éléments de réponses. Cordialement Manon.
    1 point
  11. Black Jack

    urgent svp Exercice

    Bonjour, u(n) = (1 + 0,5^n)/n u(n+1) = (1 + 0,5^(n+1))/(n+1) u(n+1) - u(n) = (1 + 0,5^(n+1))/(n+1) - (1 + 0,5^n)/n u(n+1) - u(n) = [n.(1 + 0,5^(n+1)) - (n+1).(1 + 0,5^n)]/[n.(n+1)] u(n+1) - u(n) = (n + n*0,5^(n+1) - n - 1 - n.0,5^n - 0,5^n)/[n.(n+1)] u(n+1) - u(n) = (n*0,5*0,5^n - 1 - n.0,5^n - 0,5^n)/[n.(n+1)] u(n+1) - u(n) = (n*0,5^n * (0,5-1 ) - 1 - 0,5^n)/[n.(n+1)] u(n+1) - u(n) = -(1 + n*0,5*0,5^n + 0,5^n)/[n.(n+1)] u(n+1) - u(n) = -(1 + 0,5^n (1 + 0,5^n))/[n.(n+1)] Et donc u(n+1) - u(n) < 0 et ...
    1 point
  12. PAVE

    urgent svp Exercice

    Bonjour, donc quelque soit n appartenant à N*, un+1-un ?? 0 => un+1 ?? un => sens de variation de (un)
    1 point
  13. Black Jack

    urgent svp Exercice

    Bonjour, Tu as fais une erreur dans l'expression de Vn. La bonne expression est v(n) = (1/2)^n C'est donc normal que tu n'arrives pas à trouver le u(n) donné dans l'énoncé. '''''''''''''''' 2) Avec v(n) = (1/2)^n (1/2)^n = n.u(n) - 1 u(n) = (1 + (1/2)^n)/n u(n) = (1 + 0,5^n)/n ''''''''''''''''''''' Tu dois donc commencer par corriger ce que tu as fait pour trouver v(n).
    1 point
  14. Black Jack

    Question SVP

    Pour que e^(i.θ) soit réel il faut que sin(θ) = 0, donc θ = k.Pi (avec k dans Z) MAIS l'énoncé précise : e^iθ ∈ R si et seulement si : Dans la proposition 1, soit θ = 0 ... donnera bien e^(i.theta) réel Cela satisfait : e^iθ ∈ R si θ = 0 MAIS cela ne satisfait pas le "seulement si" car il y a d'autres valeurs de theta pour lesquelles e^(i.θ) est également réel, par exemple θ = Pi (entre d'autres) On ne peut donc pas dire que e^iθ est réel seulement si θ = 0 ---> la proposition 1 est fausse. Explication similaire, pour montrer que les propositions 2 et 3 sont également fausses.
    1 point
  15. Black Jack

    Question SVP

    Bonjour, e^(i.theta) = cos(theta) + i.sin(theta) ---> e^(theta) appartient aux Réels si theta = k.Pi (pour k dans Z) Les 3 premières propositions sont fausses car il existe d'autres valeurs de theta que celle(s) donnée(s) qui conviennent. La proposition 4 est la seule vraie.
    1 point
  16. _Unknown_

    Dissertation philosophie

    Bonjour, j'aurais besoin d'aide pour le sujet suivant : "Science et religion s'opposent-elles?" Merci d'avance pour l'aide proposée.
    1 point
  17. Calliclès

    Dissertation philosophie

    Salut à toi! Donc vous avez du faire un chapitre sur la religion et un chapitre sur les sciences? Ou vous avez fait les deux en même temps? Pour faire court: il y a plusieurs manières de s'opposer. Et s'opposer à quoi, exactement? J'apprends à mes élèves que la religion a trois composantes: 1) les mythes (cosmogonie, naissance du monde et de l'humanité), 2) le culte, la pratique sociale des religions et 3) la foi, le sentiment de croyance personnel en une divinité. 1) La science s'oppose à la religion sur l'exactitude des mythes. Les sciences ne s'opposent pas à la religion en tant que tel, par contre les sciences prouvent, avec beaucoup d'efficacité, que les mythes religieux sont des inventions. Les exemples sont très nombreux: le mythe biblique de la création du monde dans la Genèse ne peut pas être vrai, car 1) les hommes ne sont pas fait d'argile (facile à prouver: quand je prends une douche, je ne pars pas en poussière dans les tuyaux), 2) dans ce mythe, dieu a créé les plantes AVANT de mettre le Soleil en place (il y a un petit problème de photosynthèse, les plantes auraient du crever dans l'obscurité en attendant le Soleil), 3) nous avons des preuves géologiques que la Terre a au moins 4,2 milliards d'années (la cosmologie nous dit que c'est plus, mais les preuves géologiques ont une limite). Donc un scientifique ne peut pas croire aux textes religieux au pied de la lettre. Ce qui n'est pas gênant, car à part des fanatiques moyen-âgeux que même les théologiens médiévaux auraient méprisé, personne ne prend vraiment le texte au pied de la lettre: l'immense majorité des non-scientifiques dans le monde ne croient pas à une interprétation littérale des mythes. L'intérêt de la Genèse n'est pas de nous dire comment le monde aurait été créé à partir du rien (impossible), mais de contenir une morale sur le péché et la naissance de la conscience morale (l'expulsion du jardin d'Eden). C'est une parabole, et l'époque où les gens pouvaient y croire au pied de la lettre si le sens moral du texte leur échappait est révolue. 2) La science s'oppose-t-elle au culte? Alors si les sciences peuvent s'opposer aux mythes, est-ce qu'elles s'opposent à la pratique sociale de la religion: le culte? Et bien non, la science ne nous dit pas qu'aller à la messe est mauvais pour la santé, par exemple. Par contre, la méthode scientifique a prouvé que la prière n'avait absolument aucune efficacité mesurable pour soigner les gens. Visiblement, dans une étude en aveugle, prier pour la guérison du cancer est aussi efficace que prendre des pastilles de sucre comme placebo... Donc pas d'opposition au culte, mais certains usages de la prière sont réfutés. 3) Est-ce que la science s'oppose à la foi? Dans sa méthode, oui. La foi consiste à croire sans preuve (c'est pour cela que les preuves de l'existence de dieu sont inutiles: les athées n'y croient pas, pour la bonne raisons qu'elles sont toujours spécieuses, et les croyants ne devraient pas en avoir besoin). La science, au contraire, est une méthode de doute radical: il faut douter de son hypothèse en la testant par des expériences, jusqu'à ce qu'on atteigne une certitude rationnelle qui ne demande plus aucune croyance. C'est la raison pour laquelle je trouve ridicule d'entendre des gens dire qu'ils ne "croient" pas à la théorie de l'évolution: c'est une théorie scientifique, elle fonctionne très bien sans croyance, le fait de ne pas y croire n'enlève absolument rien à son efficacité lorsqu'il s'agit de comprendre le monde vivant. Il ne viendrait à l'idée de personne de dire "je n'y crois pas" pour la thermodynamique, la gravitation universelle ou la mécanique des fluides, seule la théorie de l'évolution est attaquée par des fanatiques religieux. En revanche, certains scientifiques sont croyants, et ils compartimentent leur vie de telle manière que la foi est une exception à laquelle ils refusent d'appliquer leur doute. C'était le cas du mathématicien Kurt Gödel, auteur d'un des plus grands théorèmes sur la validité et la complétude de toute théorie algébrique, qui dans sa vie personnelle croyait aux anges et aux démons... Il avait une philosophie personnelle étrange, inspirée de Platon et Leibniz, et a travaillé à la fin de sa vie sur de nouvelles preuves de l'existence de dieu. Je ne pense pas que ce soit à mettre en avant: Gödel a écrit ces choses à la fin de sa vie, lorsqu'il souffrait de problèmes mentaux assez graves, notamment une paranoïa avec délire de persécution: il refusait de manger par peur qu'on l'empoisonne, il s'est laissé mourir de faim pour cette raison à 71 ans.
    1 point
  18. PAVE

    Exercice maths

    Cadeau (c'est le jour des cadeaux sur e-bahut jusqu'à ce soir 22h 😄)
    1 point
  19. julesx

    DM de MATHS EXPERTES

    d) Ce que tu as fais n'est pas faux, mais ça n'est pas exactement dans l'optique de l'énoncé. On te demande de déduire les valeurs exactes de cos(3π/8) et de sin(3π/8) mais toi, tu déduis la valeur de θ=3π/8 alors que tu connais cette valeur. Pour moi, il faut partir des deux expressions de ZI ZI=(2-√2)/2+i√2/2 ZI=√(2-√2)*(cos(3π/8)+isin(3π/8) Par identification √(2-√2)*cos(3π/8=(2-√2)/2 => cos(3π/8)=√(2-√2)/2 √(2-√2)*sin(3π/8)=√2/2 => sin(3π/8)=√2/2/√(2-√2) qu'on peut transformer en sin(3π/8)=√(2+√2)/2 moyennant quelques petits calculs.
    1 point
  20. julesx

    DM de MATHS EXPERTES

    Voir la partie de cours "complexes et géométrie". Celle ci te dit en particulier Donc, à zA=3+i√(c-9) on associe le vecteur OA de coordonnées (3;√(c-9)) et à zB on associe le vecteur OB de coordonnées (3;-√(c-9))
    1 point
  21. Black Jack

    DM de mathématique svp

    Bonjour, 3) h(x) = x (1 - e^(x²-1)) (1 - e^(x²-1)) 0 sur [-1 ; 1] (avec (1 - e^(x²-1)) = 0 en x = -1 et x = 1) Donc sur ]-1 ; 1[, h(x) a le signe de x. Donc : h(x) = 0 pour x = -1 h(x) < 0 pour x dans ]-1 ; 0[ h(x) = 0 pour x = 0 h(x) > 0 pour x dans ]0 ; 1[ h(x) = 0 pour x = 1 Donc : Cf coïncide avec d pour x = -1 Cf est au dessus de d pour x dans ]-1 ; 0[ Cf coïncide avec d pour x = 0 Cf est en dessous de d pour x dans ]0 ; 1[ Cf coïncide avec d pour x = 1 La courbe Cf en x = 0 coïncide avec l'origine du repère.
    1 point
  22. Bonjour, Si tu ne tentes pas par toi-même, tu n'apprendras rien. Essaie de comprendre ce qui suit et repose des questions sur ce que tu ne comprends pas... *** Ce sont des applications assez simples de la loi des mailles et de la loi des noeuds. Il faut aussi connaître des caractéristiques simples des transistors. Gain DC du transistor = IC/IB = 120 (voir sur schéma) V(AC) = Rc * IC= 200.Ic V(CE) = Vcc/2 = 12/2 = 6 V V(EM) = RE * IE Or IE = IC + IB = 120 IB + IB = 121 IB = 121/120 IC (souvent on utilise IE = IC comme toute bonne approximation) V(EM) = RE * (121/120) * IC Vcc = V(AC) + V(CE) + V(EM) 12 = 200.IC + 6 + RE * (121/120) * IC (200 + RE * (121/120))*IC = 6 Or IB = 0,1 mA --> IC = 120 * 0,1 = 12 mA (12.10^-3 A) (200 + RE * (121/120)) * 12.10^-3 = 6 (200 + RE * (121/120)) = 500 RE * (121/120) = 300 RE = 300 * 120/121 = 298 ohms (et on trouverait RE = 300 ohms si on faisait l'approximation IE = Ic) ********** V(EM) = RE * IE presque = RE * Ic = 300 * 12.10^-3 = 3,6 V V(BM) = V(EM) + V(VE) = 3,6 + 0,6 = 4,2 V I(BZ) = 5 * IB = 5 * 10^-4 = 5.10^-4 A V(BM) = RB2 * I(BZ) 4,2 = RB2 * 5.10^-4 RB2 = 8400 ohms ********* V(AB) = Vcc - V(BM) = 12 - 4,2 = 7,8 V IB1 = IB + I(BZ) (loi des noeuds) IB1 = 5.10^-4 + 10^-4 = 6.10^-4 A RB1 = V(AB)/IB1 RB1 = 7,8/(6.10^-4) RB1 = 13000 ohms ********* Recopier sans comprendre ne sert à rien.
    1 point
  23. julesx

    demande aide dm

    Bonjour et bienvenue sur le site, J'ai transformé ton docx en image puisqu'il ne contenait que ceci. Ceci pour faciliter le travail des aidants. Partie 1 : Utilise Pythagore. Grâce aux données, tu peux calculer la largeur et la hauteur du triangle rectangle dont l’hypoténuse est égale à la distance à parcourir. Pour la suite, je passe la main car je vais m'absenter.
    1 point
  24. Bonjour, Exercice 2 Simples applications de la loi des noeuds. Ex 2 : Avec les courants en mA I1 = I2 + I3 5 = I2 + 3 I2 = 2 mA I3 + I6 + I4 = 0 3 + 1 + I4 = 0 I4 = -4 mA I7 = I1 I7 = 5 mA I5 = I6+I7 I5 = 1 + 5 I5 = 6 mA
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  25. Bonjour, Une approche "énergétique". En t = 0, le palet a une énergie cinétique Ec = 1/2.m.Vo² Hors pertes par frottement, cette énergie cinétique va se "transformer" en énergie potentielle (m.g.delta h) et le mobile aura son altitude augmentée de delta h 1/2.m.Vo² = m.g.delta h delta h = Vo²/(2g) Avec alpha l''angle du plan incliné par rapport au plan horizontal, on a : delta h = OB * sin(alpha) Donc : OB = Vo²/(2g.sin(alpha)) **** Hors frottement, il y a conservation de l'énergie mécanique et donc lorsque le palet repassera en O, la vitesse sera vo ... mais dans le sens de la descente. ******************** Autre approche : Avec t = 0, l'instant du lancer : Avec le repère du dessin : L'accélération du palet est a = g.sin(alpha) (sens vers le bas du plan incliné) on a donc v(t) = -Vo + g.t.sin(alpha) dx/dt = -Vo + g.t.sin(alpha) x(t) = -Vo.t + gt²/2 * sin(alpha) Le mobile arrive en B pour la valeur de t qui annule v(t) --> pour t = Vo/(g.sin(alpha)) xB = -Vo.Vo/(g.sin(alpha)) + g(Vo/(g.sin(alpha)))²/2 * sin(alpha) xB = -Vo²/(g.sin(alpha)) + (Vo²/(2g.sin(alpha)) xB = Vo²/(2g.sin(alpha)) --> |OB| = Vo²/(2g.sin(alpha)) **** Lorsque le mobile repasse en O, x(t) = 0 (avec t > 0) --> -Vo.t + gt²/2 * sin(alpha) = 0 gt²/2 * sin(alpha) = Vo.t gt/2 * sin(alpha) = Vo t = 2Vo/(g.sin(alpha)) La vitesse est, à cet instant : v = -Vo + g.t.sin(alpha) = -Vo + g*2Vo/(g.sin(alpha))*.sin(alpha) v = -Vo + 2Vo v = Vo Vitesse de même norme et même direction qu'au lancer, mais de sens contraire. ********** A comprendre évidemment et pouvoir refaire seul(e) ensuite.
    1 point
  26. Bonjour Denis, Sauf qu'il y a une erreur dans le corrigé. Le travail de l'énergie potentielle est mg*OB*sin(α). Mais lilouuuu vu son niveau (puisque acceptée en MPSI) a surement rectifié.
    1 point
  27. Bonjour à tous, Résolu ici : https://nosdevoirs.fr/devoir/6059685
    1 point
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